L'avocat Algérien, Me Aissa Rahmoune a été élu, jeudi 27 octobre 2022, au poste de vice président de la fédération international des droits de l'homme (FIDH), lors du 41e congrès de cette organisation, qui célèbre par la même occasion son centenaire.
la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) a tenu son forum dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris les 23 et 24 octobre 2022. Les débats et sessions de travail communes se sont poursuivis jusqu'au 27 du mois à l’hôtel Novotel de Paris est.
180 défenseurs des droits humains, venus du monde entier, se sont réunis au nom d’un même combat : Celui de la liberté, du respect des droits et de celles et ceux qui les défendent.
Ces défenseurs des droits humains ont rendu hommage au détenus d'opinions dont le journaliste et défenseur des droits de l'homme en Algérie, Hassan Bouras, lui-même membre actif de la LADDH.
Avocat et défenseur des droits humains, Me Aissa Rahmoune a coutoyé les grandes figures militantes pour le respect des droits de l'homme en Algérie, à l'instar du doyen des droits de l'Homme feu Me Ali Yahia Abdennour, Me Mostefa Bouchachi et Me Ali Benissad.
Dans un poste sur page Facebook, Me Rahmoune, rend hommage à ces dernier:
« (...) C'est un honneur pour moi, une fierté, mais surtout une consécration et une reconnaissance internationale pour la LADDH et son combat », témoigne Me Aissa Rahmoune.
« j’ai une pensée émue a la mémoire de Maître Ali Yahia Abdennour (...) J’exprime aussi toute ma reconnaissance à mes amis, les Présidents Mostefa Bouchachi et Noureddine Benissad »., a-t-il ajouté.
« Bien évidemment, mes remerciements et ma gratitude vont aussi a mes amis M.Moumene Khelil et Mme.Nassera Dutour, qui m’ont accompagné tout au long de ce congrès si spécial, en donnant une dimension collective à ma candidature. Tout en espérant être à la hauteur de la mission et de la confiance placée en moi, je m’engage à être le porte voix des défenseurs des droits de l’homme en Algérie et de toute la région » , souligne le désormais vice-président de la FIDH.
La Rédaction
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